Surface water methods for FR
XML File details
CreationDate | 2009/12/15 |
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Creator | DIREN Guyane |
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Email | laure.verneyre@developpement-durable.gouv.fr |
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Description | Rapportage DCE mars 2010 |
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GeneratedBy | DIREN Guyane |
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MD_ClassificationCode | |
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C_CD | FR |
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EURBDCode | FRK |
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RBD_MS_CD | K |
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RBDName | Les fleuves et cours d'eau côtiers de la Guyane |
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METADATA | |
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URL | |
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1. Identification of Surface Water Bodies
Rivers
WaterBodyCriteria | ArtificialHeavilyModifiedCriteria | InternationalCoordination | SMALL_BODIES | SMALL_BODIES_REF |
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Au plan national, les orientations retenues pour la délimitation préalable des masses d’eau sont les suivantes.
a Eléments méthodologiques obligatoires :
- les hydroécorégions de rang 1 issues du travail du CEMAGREF croisées avec :
- l’ordination des cours d’eau selon Strahler qui se décline en rangs (1 à 8).
b Eléments secondaires destinés à affiner certaines délimitations :
Les hydroécorégions de rang 2 issues du travail du CEMAGREF ont été utilisées si les conditions de référence sont différentes (variations biologiques significatives, susceptibles de conduire à des évaluations de l’état écologique différentes). Les hydro-écorégions de rang 2 ont pu aussi aider à constituer des unités spatiales adéquates pour regrouper des ensembles de petits cours d’eau (rang de Strahler 1 à 3, par exemple) qui peuvent être traités de manière statistique.
c Prise en compte de tous les cours d’eau, à partir de la taille minimale indiquée dans la directive (pour mémoire, bassin versant à partir de 10-100 km2 avec le système A)
Il a été demandé de regrouper au maximum les masses d’eau ayant les mêmes conditions de référence et étant contiguës et de n’individualiser que les masses d’eau présentant des références significativement différentes.
d Linéaires minimaux à prendre en compte
De façon à ne pas trop morceler le découpage des masses d’eau et de conserver des unités d’évaluation cohérentes, les critères concernant le linéaire minimal à considérer sont les suivants :
- de l’ordre de 2 à 5 km pour les rangs 1 à 3 (1 à 4 pour Loire-Bretagne) ;
- de l’ordre de 10 à 15 km pour les rangs 4 et 5 (5 et 6 pour Loire Bretagne) ;
- de l’ordre de 25 à 30 km pour les rangs supérieurs.
e Prise en compte des pressions
Pour être prises en compte, les pressions anthropiques doivent répondre à deux critères :
- intensité suffisante et
- étendue géographique suffisante,
afin de ne pas morceler inutilement et de ne pas différencier des situations trop proches du point de vue des états des masses d’eau. Références : arrêté du 12 janvier 2010 relatif aux méthodes et aux critères à mettre
en oeuvre pour délimiter et classer les masses d’eau et dresser l’état des lieux prévu
À l’article R. 212-3 du code de l’environnement
Wasson J.-G., Chandesris A. and Pella H. (2004). Hydroécorégions de la Guadeloupe. Propositions de régionalisation des écosystèmes aquatiques en vue de l’application de la directive-cadre européenne sur l’eau. Ministère de l’écologie et du développement durable, CEMAGREF BEA/LHQ, Lyon. 12 p. + annexes.
Chandesris A., Wasson J.-G. and Pella H. (2005). Hydroécorégions de la Martinique. Propositions de régionalisation des écosytèmes aquatiques en vue de l’application de la directive-cadre européenne sur l’eau. Rapport final, DIREN Martinique, CEMAGREF BEA/LHQ, Lyon. 17 p.
Wasson J.-G., Chandesris A. and Pella H. (2004). Hydroécorégions de l’île de La Réunion. Propositions de régionalisation des écosystèmes aquatiques en vue de l’application de la directive-cadre européenne sur l’eau. Ministère de l’écologie et du développement durable, CEMAGREF BEA/LHQ, Lyon. 10 p. + annexes.
Chandesris A., Wasson J.-G. and Pella H. (2005). Hydroécorégions de la Guyane. Propositions de régionalisation des écosystèmes aquatiques en vue de l’application de la directive-cadre. CEMAGREF BEA/LHQ, Lyon. 10 p. + annexes. | Le "Document de cadrage pour l’identification prévisionnelle des masses d’eau fortement modifiées" précise les critères et les seuils à prendre en compte, et énonce certains principes méthodologiques : * les indications fournies par les données biologiques doivent primer dans l’appréciation des impacts des modifications physiques * une orientation générale de reconquête des milieux d’eaux vives doit être poursuivie * les masses d’eau modifiées par les activités passées ne peuvent pas donner lieu à identification prévisionnelle en MEFM * les masses d’eau en bon état ne peuvent pas donner lieu à identification en MEFM. Pour les masses d’eau douce superficielle, l’approche consiste d’abord à examiner les activités liées aux masses d’eau (en référence à celles ciblées par l’article 4.3) et leurs impacts. Une liste des types d’aménagements susceptibles de donner lieu à identification provisoire a été établie, et assortie de critères de taille, d’intensité des impacts et de réversibilité, dont les principaux sont repris ci-après : urbanisation en bord de rivière ou de lac ; routes et endiguements ; navigation ; recalibrages et rectifications ; barrages. Dans un deuxième temps, l’approche a consisté à sommer par masse d’eau les secteurs pré-identifiés MEFM pour évaluer le pourcentage de linéaire artificialisé de la masse d’eau. Pour les masses d’eau littorales, les aménagements ou activités susceptibles de donner lieu à identification prévisionnelle sont la navigation, le dragage, les extractions, la conchyliculture, l’urbanisation et les aménagements pour la protection contre les crues ou contre l’évolution du trait de côte.
La désignation des masses d’eau fortement modifiées dans les schémas directeurs d’aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) a été effectuée à partir de cette pré-identification. Cette désignation a consisté à valider les masses d’eau qui constituent de manière évidente des MEFM de par l’ampleur des modifications morphologiques et, sur les autres masses d’eau pré-identifiées, à approfondir l’évaluation des modifications effectuées et à juger plus finement de la possibilité d’atteindre le bon état, si besoin par des études complémentaires.
Pour les masses d’eau artificielles, la démarche est analogue a celle développée pour les masses d'eau fortement modifiées. Les masses d’eau artificielles sont des masses d’eau créées par l’activité humaine c'est-à-dire qu'aucune masse d’eau ne préexistait à l’activité humaine qui a conduit à créer ces masses d’eau. Références : arrêté du 12 janvier 2010 relatif aux méthodes et aux critères à mettre
en oeuvre pour délimiter et classer les masses d’eau et dresser l’état des lieux prévu
À l’article R. 212-3 du code de l’environnement | None | None | None |
Lakes
WaterBodyCriteria | ArtificialHeavilyModifiedCriteria | InternationalCoordination | SMALL_BODIES | SMALL_BODIES_REF |
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Pour les plans d’eau, la directive cadre demande de définir des masses d’eau à partir de 50 hectares. En France, environ 500 plans d’eau de plus de 50 hectares sont répertoriés. Références : arrêté du 12 janvier 2010 relatif aux méthodes et aux critères à mettre
en oeuvre pour délimiter et classer les masses d’eau et dresser l’état des lieux prévu
À l’article R. 212-3 du code de l’environnement | Le "Document de cadrage pour l’identification prévisionnelle des masses d’eau fortement modifiées" précise les critères et les seuils à prendre en compte, et énonce certains principes méthodologiques : * les indications fournies par les données biologiques doivent primer dans l’appréciation des impacts des modifications physiques * une orientation générale de reconquête des milieux d’eaux vives doit être poursuivie * les masses d’eau modifiées par les activités passées ne peuvent pas donner lieu à identification prévisionnelle en MEFM * les masses d’eau en bon état ne peuvent pas donner lieu à identification en MEFM. Pour les masses d’eau douce superficielle, l’approche consiste d’abord à examiner les activités liées aux masses d’eau (en référence à celles ciblées par l’article 4.3) et leurs impacts. Une liste des types d’aménagements susceptibles de donner lieu à identification provisoire a été établie, et assortie de critères de taille, d’intensité des impacts et de réversibilité, dont les principaux sont repris ci-après : urbanisation en bord de rivière ou de lac ; routes et endiguements ; navigation ; recalibrages et rectifications ; barrages. Dans un deuxième temps, l’approche a consisté à sommer par masse d’eau les secteurs pré-identifiés MEFM pour évaluer le pourcentage de linéaire artificialisé de la masse d’eau. Pour les masses d’eau littorales, les aménagements ou activités susceptibles de donner lieu à identification prévisionnelle sont la navigation, le dragage, les extractions, la conchyliculture, l’urbanisation et les aménagements pour la protection contre les crues ou contre l’évolution du trait de côte.
La désignation des masses d’eau fortement modifiées dans les schémas directeurs d’aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) a été effectuée à partir de cette pré-identification. Cette désignation a consisté à valider les masses d’eau qui constituent de manière évidente des MEFM de par l’ampleur des modifications morphologiques et, sur les autres masses d’eau pré-identifiées, à approfondir l’évaluation des modifications effectuées et à juger plus finement de la possibilité d’atteindre le bon état, si besoin par des études complémentaires.
Pour les masses d’eau artificielles, la démarche est analogue a celle développée pour les masses d'eau fortement modifiées. Les masses d’eau artificielles sont des masses d’eau créées par l’activité humaine c'est-à-dire qu'aucune masse d’eau ne préexistait à l’activité humaine qui a conduit à créer ces masses d’eau. Références : arrêté du 12 janvier 2010 relatif aux méthodes et aux critères à mettre
en oeuvre pour délimiter et classer les masses d’eau et dresser l’état des lieux prévu
À l’article R. 212-3 du code de l’environnement | None | None | None |
Transitional
WaterBodyCriteria | ArtificialHeavilyModifiedCriteria | InternationalCoordination | SMALL_BODIES | SMALL_BODIES_REF |
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1. Les critères utilisés
1.a La capacité de renouvellement
La capacité du milieu à se renouveler soit par mélange, soit par le transport est une notion essentielle qui permet de caractériser la sensibilité de la zone aux apports terrestres ou non, localisés ou diffus.
1.b Les caractéristiques géomorphologiques
Les critères géomorphologiques évoluent très peu au cours du temps à la différence des paramètres précédents. Ils conditionnent pour une bonne part les peuplements benthiques.
2. Méthode de délimitation
L’application des critères précédemment évoqués a permis d’identifier des secteurs côtiers. Dans un souci d’initialisation du processus de définition, l’échelle spatiale d’un secteur côtier a été considérée de l’ordre de 20-50 km. Cette échelle a été choisie de manière arbitraire mais dans l’objectif de disposer d’un nombre raisonnable de secteurs pour l’ensemble des côtes. Les masses d’eau ont été définies à partir de ces secteurs, par regroupement ou partition (pour tenir compte notamment des masses d’eau fortement modifiées).
Parmi l’ensemble des paramètres potentiellement pertinents à retenir pour la délimitation des masses d’eau, le marnage et la salinité constituent des critères à prendre obligatoirement en compte.
Il a donc été proposé pour cette première approche :
• Un classement du marnage en 3 gammes 0-1m , 1-4m et 4-11m qui identifieront les 3 façades : Méditerranée, Atlantique et Manche.
• La salinité peut être utilisée pour fixer la limite entre les eaux côtières et les eaux de transition.
• Les panaches fluviaux des grands fleuves sont susceptibles d’influencer l’écosystème sur des distances importantes.
• Le mélange sur la verticale (paramètre de stratification) est un facteur hydrodynamique dont l’influence sur l’écologie est clairement démontrée.
• Les courants à une échelle de temps supérieure à la marée caractérisent le renouvellement des eaux par transport. Il a été proposé d’utiliser les informations sur des courants résiduels et leurs trajectoires pour définir des zones de fort, moyen faible et très faible renouvellements.
• La profondeur moyenne de la zone peut caractériser dans les mers à marée la taille des estrans et de manière générale, l’éclairement moyen reçu au fond par l’écosystème benthique.
• La caractérisation de la nature des sédiments superficiels est également un facteur facultatif. Il a été proposé que cette caractérisation soit utilisée à la suite d’un premier découpage et puisse dans le cas de zones très hétérogènes amener à un découpage plus fin.
Ces critères ont été appliqués à la zone comprise entre le mont Saint Michel et la Baie de Somme, ainsi qu’à la Méditerranée. Références : arrêté du 12 janvier 2010 relatif aux méthodes et aux critères à mettre
en oeuvre pour délimiter et classer les masses d’eau et dresser l’état des lieux prévu
À l’article R. 212-3 du code de l’environnement | Le "Document de cadrage pour l’identification prévisionnelle des masses d’eau fortement modifiées" précise les critères et les seuils à prendre en compte, et énonce certains principes méthodologiques : * les indications fournies par les données biologiques doivent primer dans l’appréciation des impacts des modifications physiques * une orientation générale de reconquête des milieux d’eaux vives doit être poursuivie * les masses d’eau modifiées par les activités passées ne peuvent pas donner lieu à identification prévisionnelle en MEFM * les masses d’eau en bon état ne peuvent pas donner lieu à identification en MEFM. Pour les masses d’eau douce superficielle, l’approche consiste d’abord à examiner les activités liées aux masses d’eau (en référence à celles ciblées par l’article 4.3) et leurs impacts. Une liste des types d’aménagements susceptibles de donner lieu à identification provisoire a été établie, et assortie de critères de taille, d’intensité des impacts et de réversibilité, dont les principaux sont repris ci-après : urbanisation en bord de rivière ou de lac ; routes et endiguements ; navigation ; recalibrages et rectifications ; barrages. Dans un deuxième temps, l’approche a consisté à sommer par masse d’eau les secteurs pré-identifiés MEFM pour évaluer le pourcentage de linéaire artificialisé de la masse d’eau. Pour les masses d’eau littorales, les aménagements ou activités susceptibles de donner lieu à identification prévisionnelle sont la navigation, le dragage, les extractions, la conchyliculture, l’urbanisation et les aménagements pour la protection contre les crues ou contre l’évolution du trait de côte.
La désignation des masses d’eau fortement modifiées dans les schémas directeurs d’aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) a été effectuée à partir de cette pré-identification. Cette désignation a consisté à valider les masses d’eau qui constituent de manière évidente des MEFM de par l’ampleur des modifications morphologiques et, sur les autres masses d’eau pré-identifiées, à approfondir l’évaluation des modifications effectuées et à juger plus finement de la possibilité d’atteindre le bon état, si besoin par des études complémentaires.
Pour les masses d’eau artificielles, la démarche est analogue a celle développée pour les masses d'eau fortement modifiées. Les masses d’eau artificielles sont des masses d’eau créées par l’activité humaine c'est-à-dire qu'aucune masse d’eau ne préexistait à l’activité humaine qui a conduit à créer ces masses d’eau. | None | None | None |
Coastal
WaterBodyCriteria | ArtificialHeavilyModifiedCriteria | InternationalCoordination | SMALL_BODIES | SMALL_BODIES_REF |
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1. Les critères utilisés
1.a La capacité de renouvellement
La capacité du milieu à se renouveler soit par mélange, soit par le transport est une notion essentielle qui permet de caractériser la sensibilité de la zone aux apports terrestres ou non, localisés ou diffus.
1.b Les caractéristiques géomorphologiques
Les critères géomorphologiques évoluent très peu au cours du temps à la différence des paramètres précédents. Ils conditionnent pour une bonne part les peuplements benthiques.
2. Méthode de délimitation
L’application des critères précédemment évoqués a permis d’identifier des secteurs côtiers. Dans un souci d’initialisation du processus de définition, l’échelle spatiale d’un secteur côtier a été considérée de l’ordre de 20-50 km. Cette échelle a été choisie de manière arbitraire mais dans l’objectif de disposer d’un nombre raisonnable de secteurs pour l’ensemble des côtes. Les masses d’eau ont été définies à partir de ces secteurs, par regroupement ou partition (pour tenir compte notamment des masses d’eau fortement modifiées).
Parmi l’ensemble des paramètres potentiellement pertinents à retenir pour la délimitation des masses d’eau, le marnage et la salinité constituent des critères à prendre obligatoirement en compte.
Il a donc été proposé pour cette première approche :
• Un classement du marnage en 3 gammes 0-1m , 1-4m et 4-11m qui identifieront les 3 façades : Méditerranée, Atlantique et Manche.
• La salinité peut être utilisée pour fixer la limite entre les eaux côtières et les eaux de transition.
• Les panaches fluviaux des grands fleuves sont susceptibles d’influencer l’écosystème sur des distances importantes.
• Le mélange sur la verticale (paramètre de stratification) est un facteur hydrodynamique dont l’influence sur l’écologie est clairement démontrée.
• Les courants à une échelle de temps supérieure à la marée caractérisent le renouvellement des eaux par transport. Il a été proposé d’utiliser les informations sur des courants résiduels et leurs trajectoires pour définir des zones de fort, moyen faible et très faible renouvellements.
• La profondeur moyenne de la zone peut caractériser dans les mers à marée la taille des estrans et de manière générale, l’éclairement moyen reçu au fond par l’écosystème benthique.
• La caractérisation de la nature des sédiments superficiels est également un facteur facultatif. Il a été proposé que cette caractérisation soit utilisée à la suite d’un premier découpage et puisse dans le cas de zones très hétérogènes amener à un découpage plus fin.
Ces critères ont été appliqués à la zone comprise entre le mont Saint Michel et la Baie de Somme, ainsi qu’à la Méditerranée. Références : arrêté du 12 janvier 2010 relatif aux méthodes et aux critères à mettre
en oeuvre pour délimiter et classer les masses d’eau et dresser l’état des lieux prévu
À l’article R. 212-3 du code de l’environnement Références : arrêté du 12 janvier 2010 relatif aux méthodes et aux critères à mettre
en oeuvre pour délimiter et classer les masses d’eau et dresser l’état des lieux prévu
À l’article R. 212-3 du code de l’environnement | Le "Document de cadrage pour l’identification prévisionnelle des masses d’eau fortement modifiées" précise les critères et les seuils à prendre en compte, et énonce certains principes méthodologiques : * les indications fournies par les données biologiques doivent primer dans l’appréciation des impacts des modifications physiques * une orientation générale de reconquête des milieux d’eaux vives doit être poursuivie * les masses d’eau modifiées par les activités passées ne peuvent pas donner lieu à identification prévisionnelle en MEFM * les masses d’eau en bon état ne peuvent pas donner lieu à identification en MEFM. Pour les masses d’eau douce superficielle, l’approche consiste d’abord à examiner les activités liées aux masses d’eau (en référence à celles ciblées par l’article 4.3) et leurs impacts. Une liste des types d’aménagements susceptibles de donner lieu à identification provisoire a été établie, et assortie de critères de taille, d’intensité des impacts et de réversibilité, dont les principaux sont repris ci-après : urbanisation en bord de rivière ou de lac ; routes et endiguements ; navigation ; recalibrages et rectifications ; barrages. Dans un deuxième temps, l’approche a consisté à sommer par masse d’eau les secteurs pré-identifiés MEFM pour évaluer le pourcentage de linéaire artificialisé de la masse d’eau. Pour les masses d’eau littorales, les aménagements ou activités susceptibles de donner lieu à identification prévisionnelle sont la navigation, le dragage, les extractions, la conchyliculture, l’urbanisation et les aménagements pour la protection contre les crues ou contre l’évolution du trait de côte.
La désignation des masses d’eau fortement modifiées dans les schémas directeurs d’aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) a été effectuée à partir de cette pré-identification. Cette désignation a consisté à valider les masses d’eau qui constituent de manière évidente des MEFM de par l’ampleur des modifications morphologiques et, sur les autres masses d’eau pré-identifiées, à approfondir l’évaluation des modifications effectuées et à juger plus finement de la possibilité d’atteindre le bon état, si besoin par des études complémentaires.
Pour les masses d’eau artificielles, la démarche est analogue a celle développée pour les masses d'eau fortement modifiées. Les masses d’eau artificielles sont des masses d’eau créées par l’activité humaine c'est-à-dire qu'aucune masse d’eau ne préexistait à l’activité humaine qui a conduit à créer ces masses d’eau. Références : arrêté du 12 janvier 2010 relatif aux méthodes et aux critères à mettre
en oeuvre pour délimiter et classer les masses d’eau et dresser l’état des lieux prévu
À l’article R. 212-3 du code de l’environnement | None | None | None |
2. Typology of Surface Water Bodies
Types
TYPE_CODE | TYPE_NAME | CATEGORY |
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A52 | Retenue du bouclier guyanais | LW |
G52 | Grand cours d'eau du bouclier guyanais | RW |
G51 | Grand cours d'eau de la plaine littorale de Guyane | RW |
M52 | Moyen cours d'eau du bouclier guyanais | RW |
M51 | Moyen cours d'eau de la plaine littorale de Guyane | RW |
TG52 | Très grand cours d'eau du bouclier guyanais | RW |
TG51 | Très grand cours d'eau de la plaine littorale de Guyane | RW |
C35 | Masse d'eau côtière guyanaise | CW |
T14 | Estuaires à forts débits, ne subissant pas l'influence amazonienne | TW |
T15 | Estuaires à faibles débits, protégés par un éperon rocheux | TW |
T16 | Estuaires à faibles débits, soumis à l'influence amazonienne | TW |
PTP52 | Petit ou Très Petit cours d'eau du bouclier guyanais | RW |
PTP51 | Petit ou Très Petit cours d'eau de la plaine littorale de Guyane | RW |
System B factors used for the definition of typology of River Water Bodies.
System B factors used for the definition of typology of lake Water Bodies.
ALTITUDE |
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LAT |
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LON |
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DEPTH |
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GEOLOGY |
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SIZE |
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AV_DEPTH |
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LAKE_SHAPE |
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RES_TIME |
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AV_A_TEMP |
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A_TEMP_RGE |
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MIXING |
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ACID_NEUT |
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NUTRIENT |
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SUBSTRATUM |
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LEVEL_FLUC |
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OTHER |
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System B factors used for the definition of typology of transitional Water Bodies.
LAT |
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LON |
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TIDAL |
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SALINITY |
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DEPTH |
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VELOCITY |
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WAV_EXPO |
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RES_TIME |
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AV_W_TEMP |
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MIXING |
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TURBIDITY |
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SUBSTRATUM |
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SHAPE |
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W_TEMP_RGE |
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OTHER |
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System B factors used for the definition of typology of coastal Water Bodies.
LAT |
---|
LON |
---|
TIDAL |
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SALINITY |
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VELOCITY |
---|
WAV_EXPO |
---|
AV_W_TEMP |
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MIXING |
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TURBIDITY |
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RET_TIME |
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SUBSTRATUM |
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W_TEMP_RGE |
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OTHER |
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Coordination
‘Tous les Etats Membres ont opté pour l’utilisation du système B (DCE ; annexe II). La coordination a porté prioritairement sur les rivières frontalières ou transfrontalières mais également sur l’ensemble du réseau hydrographique concerné par la DCE. Les Etats ont ainsi recherché une comparabilité des types décrits par l’identification des critères communs utilisés dans les différentes typologies nationales. Cette démarche a permis (i) de mettre en évidence la cohérence globale des approches typologiques des Etats concernés et (ii) le cas échéant d'harmoniser le classement des ME adjacentes aux frontières. Aucun lac transfrontalier n’a été identifié comme justifiant une coordination internationale.
Coordination plans
Coordination refernces
ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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3. Methodology of Surface Water Classification
Surface Water Ecological Classifications
River
QEParameterTypes | QEOtherParameterDescription | TypologyCode | AllTypologyCode | RiverIntercalibrationType | RiverNationalTranslation | MatrixType | Units | StatisticalExpression | ReferenceCondition | HighGoodBoundary | HighGoodCalibrationCompliant | GoodModerateBoundary | GoodModerateCalibrationCompliant | ModeratePoorBoundary | PoorBadBoundary | NationalMethodInUse | ImplementableAtPresent |
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QE3-1-6-Nitrate | | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
QE3-1-6-Nitrite | | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
QE1-3 Benthic invertebrates | | | All Rivers | | Not applicable | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
QE1-4 Fish | | | All Rivers | | Not applicable | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
QE1-2-4 Phytobenthos | | | All Rivers | | Not applicable | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
QE3-1-6-TotalAmmonium | | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
QE3-1-6-KjeldahlNitrogen | | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
QE3-1-6-TotalOrganicCarbon | | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
Other | Chlorures | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | water | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
QE3-1-4-Conductivity | | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
QE3-1-3-BOD5 | | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
QE3-1-3-COD | | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
QE3-1-6-SolubleReactivePhosphorus | | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
QE3-1-3-DissolvedOxygenConcentration | | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
QE3-1-3-OxygenSaturationPercentage | | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
QE3-1-5-pH | | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
QE3-1-6-Orthophosphate | | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
QE3-1-6-Silicate | | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
QE3-1-4-Sulfate | | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
Other | Fluorures | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | water | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
Other | Hydrocarbures | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | water | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
Other | MES | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | suspended sediment | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
Other | Titre Alcalimetrique Complet | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | water | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
Other | Turbidite | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | water | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
7439-89-6 | | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
QE3-1-2-Water temperature | | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
QE1-1 Phytoplankton | | | All Rivers | | Not applicable | | | | 0 | -7777 | no | -7777 | no | -7777 | -7777 | | N |
QE1-2-3 Macrophytes | | | All Rivers | | Not applicable | | | | 0 | -7777 | no | -7777 | no | -7777 | -7777 | | N |
QE2 Hydromorphological QEs | | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | | | | 0 | -7777 | no | -7777 | no | -7777 | -7777 | | N |
QE2-1 Hydrological regime - rivers | | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
QE2-2 River continuity | | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | | | | 0 | -7777 | no | -7777 | no | -7777 | -7777 | | N |
QE2-3 Morphological conditions - rivers | | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | | | | 0 | -7777 | no | -7777 | no | -7777 | -7777 | | N |
QE3-1-6-TotalPhosphorus | | PTP51PTP52M51M52G51G52TG51TG52 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | | N |
Lake
QEParameterTypes | QEOtherParameterType | TypologyCode | AllTypologyCode | LakeIntercalibrationType | LakeNationalTranslation | MatrixType | Units | StatisticalExpression | ReferenceCondition | HighGoodBoundary | HighGoodCalibrationCompliant | GoodModerateBoundary | GoodModerateCalibrationCompliant | ModeratePoorBoundary | PoorBadBoundary | NationalMethodInUse | ImplementableAtPresent |
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QE1-1 Phytoplankton | | A52 | | | Not applicable | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE1-2-3 Macrophytes | | A52 | | | Not applicable | | | | 0 | -7777 | no | -7777 | no | -7777 | -7777 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE1-3 Benthic invertebrates | | A52 | | | Not applicable | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE1-4 Fish | | A52 | | | Not applicable | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE2 Hydromorphological QEs | | A52 | | | | | | | 0 | -7777 | no | -7777 | no | -7777 | -7777 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE2-5-1 Lake depth variation | | A52 | | | | | | | 0 | -7777 | no | -7777 | no | -7777 | -7777 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE2-4 Hydrological regime - lakes | | A52 | | | | | | | 0 | -7777 | no | -7777 | no | -7777 | -7777 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE3-1-1-Transparency | | A52 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
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| N |
QE3-1-4-Salinity | | A52 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
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| N |
QE3-1-6-Orthophosphate | | A52 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE3-1-6-TotalPhosphorus | | A52 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
Transitional
QEParameterTypes | QEOtherParameterType | TypologyCode | AllTypologyCode | TransionalIntercalibrationType | TransitionalNationalTranslation | MatrixType | Units | StatisticalExpression | ReferenceCondition | HighGoodBoundary | HighGoodCalibrationCompliant | GoodModerateBoundary | GoodModerateCalibrationCompliant | ModeratePoorBoundary | PoorBadBoundary | NationalMethodInUse | ImplementableAtPresent |
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QE1-3 Benthic invertebrates | | T15 | | | Not applicable | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE1-1 Phytoplankton | | T15 | | | Not applicable | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
Other | metaux lourds et HAP | | All Transitional water body types | | | settled sediment | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
Other | activites enzymatiques | | All Transitional water body types | | | settled sediment | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
Other | Chlorures | | All Transitional water body types | | | water | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
Other | QE3-1-6-TotalAmmonium | T15 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
Other | QE3-1-6-Silicate | T15 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
7439-89-6 | | | All Transitional water body types | | | water | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE1-1 Phytoplankton | | T15 | | | Not applicable | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE3-1-6-Orthophosphate | | T15 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE3-1-6-TotalOrganicCarbon | | T15 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
Other | MES organique et minerale | | All Transitional water body types | | | suspended sediment | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
Other | QE3-1-4-Conductivity | T15 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
Other | phytobenthos | | All Transitional water body types | | | water | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE1-2-1 Macroalgae | | T15 | | | Not applicable | | | | 0 | -7777 | no | -7777 | no | -7777 | -7777 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE1-2-2 Angiosperms | | T15 | | | Not applicable | | | | 0 | -7777 | no | -7777 | no | -7777 | -7777 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE1-4 Fish | | T15 | | | Not applicable | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE2 Hydromorphological QEs | | T15 | | | | | | | 0 | -7777 | no | -7777 | no | -7777 | -7777 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE2-6 Morphological conditions - transitional and coastal waters | | T15 | | | | | | | 0 | -7777 | no | -7777 | no | -7777 | -7777 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE2-7 Tidal regime - transitional waters | | T15 | | | | | | | 0 | -7777 | no | -7777 | no | -7777 | -7777 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE3-1-3-DissolvedOxygenConcentration | | T15 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE3-1-3-DissolvedOxygenConcentration | | T15 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
Coastal
QEParameterTypes | QEOtherParameterType | TypologyCode | AllTypologyCode | CoastalIntercalibrationType | CoastalNationalTranslation | MatrixType | Units | StatisticalExpression | ReferenceCondition | HighGoodBoundary | HighGoodCalibrationCompliant | GoodModerateBoundary | GoodModerateCalibrationCompliant | ModeratePoorBoundary | PoorBadBoundary | NationalMethodInUse | ImplementableAtPresent |
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Other | contaminants chimiques echantillonneur passifs | | All Coastal water body types | | | water | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE3-1-5-pH | | C35 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE3-1-4-Conductivity | | C35 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE3-1-4-Salinity | | C35 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
Other | MES organique et minerale | | All Coastal water body types | | | suspended sediment | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
Other | Chlorures | | All Coastal water body types | | | water | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE3-1-6-TotalAmmonium | | C35 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE3-1-6-Silicate | | C35 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
7439-89-6 | | | All Coastal water body types | | | water | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE3-1-6-Orthophosphate | | C35 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE3-1-6-Nitrate | | C35 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE3-1-6-Nitrite | | C35 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE3-1-3-DissolvedOrganicCarbon | | C35 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE1-1 Phytoplankton | | C35 | | | Not applicable | water | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE1-3 Benthic invertebrates | | C35 | | | Not applicable | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE1-2-1 Macroalgae | | C35 | | | Not applicable | | | | 0 | -7777 | no | -7777 | no | -7777 | -7777 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE1-2-2 Angiosperms | | C35 | | | Not applicable | | | | 0 | -7777 | no | -7777 | no | -7777 | -7777 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE2 Hydromorphological QEs | | C35 | | | | | | | 0 | -7777 | no | -7777 | no | -7777 | -7777 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE2-6 Morphological conditions - transitional and coastal waters | | C35 | | | | | | | 0 | -7777 | no | -7777 | no | -7777 | -7777 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE2-8 Tidal regime - coastal waters | | C35 | | | | | | | 0 | -7777 | no | -7777 | no | -7777 | -7777 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE3-1-3-DissolvedOxygenConcentration | | C35 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE3-1-2-Water temperature | | C35 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
QE3-1-1-Transparency | | C35 | | | | | | | 0 | -8888 | no | -8888 | no | -8888 | -8888 | ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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| N |
Surface Water Chemical Status Classifications
Applying Non European Standards: Y
PrioritySubstance | Category | MatrixType | StatisticalExpression | MeasurementUnits | GoodFailBoundary | GeneralDescription |
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ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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Methodology Natural Water
‘Les éléments de qualité et limites de classes utilisés pour la classification de l’état des eaux de surface sont établis par l’arrêté du 25 janvier 2010 relatif aux méthodes et critères d’évaluation de l’état des eaux de surface.
Tous les éléments de qualité pertinents par type requis par l’annexe V de la DCE et pour lesquels nous avions une méthode d’évaluation disponible ont été considérés.
Un élément de qualité est considéré pertinent pour un type de masse d'eau de surface lorsque qu'il apporte des informations valables pour en évaluer l'état écologique. Cela implique de pouvoir définir pour cet élément des valeurs de référence caractéristiques du type de masses d'eau de surface considéré, indépendamment de la disponibilité actuelle de ces valeurs. Les éléments de qualité pertinents par type sont définis par l’arrêté établissant un programme de surveillance de l’état des eaux du 25 janvier 2010.
Des travaux sont engagés pour améliorer les indices afin de répondre pleinement aux exigences de la DCE.
Pour l’ensemble des éléments de qualité biologiques pertinents par type requis par l’annexe V de la DCE, les indices et les limites de classes ont été validés par l’intercalibration, ou sont en cours d’intercalibration, ou seront très prochainement soumis à l’intercalibration.
En ce qui concerne les paramètres physico-chimiques généraux, les limites de classes ont été déterminées sur la base des réflexions nationales des groupes de travail nationaux relatifs aux eaux de surface pour la mise en œuvre de la DCE, comprenant les services de l’Etat et les établissements publics de l’Etat (agences de l’eau, office national de l’eau et des milieux aquatiques, organismes de recherche). Les éléments de qualité pertinents à considérer, notamment en fonction des typologies, et les seuils permettant d’attribuer une classe d’état figurent dans ces documents et dans l’arrêté du 25 janvier 2010 relatif aux méthodes et critères d’évaluation de l’état des eaux de surface. Un calage des limites du bon état pour les éléments physico-chimiques généraux, par type, en cohérence avec les exigences de la DCE (annexe V), est en cours (CE).Les principaux cas particuliers d’adaptation des limites de classes de la physicochimie lorsque celle-ci est influencée par la typologie naturelle ont été identifiés.
Pour les eaux littorales (côtières et de transition) seuls les indicateurs oxygène dissous et température sont actuellement finalisés. L’indicateur nutriments (Nitrite, Nitrate et Ammonium) est en cours de développement et l’indicateur turbidité a été jugé non pertinent pour les eaux de transition.
Les substances spécifiques de l’état écologique, au titre du premier plan de gestion, ont été identifiées au niveau national (métropole) parmi les substances pertinentes (identifiées au titre de la directive 76/464) pour lesquelles on disposait de données de surveillance pour les eaux de surfaces continentales. Une liste a ainsi été déterminée pour les eaux continentales en se focalisant sur les substances le plus souvent quantifiées et pour lesquelles les données écotoxicologiques permettaient d’établir des NQE robustes (dont le facteur de sécurité ne dépassait pas 10).
Des aménagements ont été conduits pour prendre en compte les spécificités des départements d'outre-mer (DOM). Des travaux spécifiques sont engagés pour améliorer l’adaptation du système de classification national aux spécificités des DOM, afin de répondre au mieux aux exigences de la DCE.
Methodology modified water bodies
‘La méthode de détermination d’une classe de bon potentiel élaborée au niveau national est établie par l’arrêté du 25 janvier 2010 relatif aux méthodes et critères d’évaluation de l’état des eaux de surface.
Cette méthode est basée sur une typologie de cas masses d’eau fortement modifiées/artificielles (MEFM/MEA). Cette typologie est issue des grands types de masses d’eau et des grands aménagements. Les différents types de cas sont homogènes en termes d’altérations hydromorphologiques impactant les EQ biologiques. A chaque type de cas, des Contraintes Techniques Obligatoires ( CTO), reflétant des altérations morphologiques minimales liées à l’usage à l’origine de la désignation en MEFM, ont ensuite été attribuées. Cette démarche permettra au cours du premier plan de gestion, et en vue de la préparation du second, d'identifier par type de cas de MEFM/MEA les éléments de qualité biologiques affectés/non affectés par les CTO et leur degré d'altération. Cette démarche DCE compatible permettra de s’inclure dans le processus d’intercalibration du potentiel écologique des MEFM/MEA le moment venu.
Dans cette attente de la définition des classes de potentiel écologique par éléments de qualité biologiques selon une démarche DCE-compatible, la méthode suivie au niveau national est une approche « mixte », croisant les données disponibles relatives à l’état du milieu et la démarche dite « alternative », préconisée au niveau européen, fondée sur les mesures d'atténuation des impacts. Les limites de classes ont été déterminées à partir du croisement :
- des résultats obtenus sur les éléments de qualité biologiques intercalibrés au 1er round et pertinents (c'est-à-dire supposés non affectés par CTO) pour les types de MEFM et MEA, à savoir les diatomées sur les cours d'eau et la concentration en chlorophylle-a sur les plans d'eau. En ce qui concerne la physico-chimie, les limites de classes sont celles du type de masses d’eau nbaturelles le plus proche du type de MEFM/MEA concerné.;
- des altérations hydromorphologiques hors CTO,pour lesquelles des mesures efficaces sont envisageables au cours du premier plan de gestion ou au-delà.
Une classe de potentiel écologique a ainsi été attribuée, dans l'attente de l'avancée de l'intercalibration du potentiel écologique des MEFM/MEA au niveau européen.
Methodology to Combine QEs
‘Les règles d’évaluation de l’état des eaux douces de surface sont définies par l’arrêté du 25 janvier 2010 relatif aux méthodes et critères d’évaluation de l’état des eaux de surface.
Conformément aux exigences de la DCE, la règle de combinaison des éléments de qualité est celle de l’élément déclassant. Pour évaluer l’état d’un élément de qualité, la règle générale est la règle du paramètre déclassant.
Dans le cas des masses d'eau non suivies directement dans le cadre des programmes de surveillance de la DCE, l’objectif du travail d’extrapolation spatiale est d’aboutir à l’évaluation « la plus fine possible » de l’état écologique d’une masse d’eau, en exploitant au mieux l’ensemble des données disponibles, dès lors qu’elles correspondent aux besoins de la DCE en la matière. Ainsi, pour un certain nombre de masses d’eau, l’état a été évalué en appliquant un raisonnement analogique comparant des masses d’eau ou groupes de masses d’eau similaires du point de vue de la typologie et des pressions qui s’y exercent, en mobilisant des données issues de la modélisation (notamment pour les éléments physico-chimiques généraux), et/ou en mobilisant des données sur les forces motrices et les pressions. Ces méthodes, quoique statistiquement fiables à l’échelle des sous-unités, comportent un certain niveau d’incertitude dès lors qu’il s’agit d’évaluer l’état à l’échelle d’une masse d’eau.
Des travaux sont en cours pour améliorer les méthodes d’évaluation et acquérir des données supplémentaires permettant de circonscrire les incertitudes actuelles, dans le but notamment de la mise à jour des états des lieux qui devront aboutir en 2013.
Un niveau de confiance est attribué à chacune des masses d'eau pour l'état écologique en fonction notamment de la robustesse et de la complétude des données utilisées.
Methodology No Deterioration
‘Le risque de non atteinte du bon état (RNABE) est issu d’un scénario d’évolution : évolution des pressions exercées sur une masse d’eau, de l’état actuel jusqu’en 2015. En fonction de l’état estimé des masses d’eau en 2004 et de l’évolution estimée des pressions jusqu’en 2015 compte tenu de la mise en œuvre des mesures de base, le risque d’atteindre ou de ne pas atteindre les objectifs environnementaux fixés par la DCE est évalué par masse d’eau ou groupe de masses d’eau.
Sur les masses d’eau estimées en RNABE, des mesures complémentaires sont prévues pour atteindre les objectifs de bon état et de non détérioration.
Le principe de non détérioration a été traduit à l’article R. 212-13 du code de l’environnement : « la prévention de la détérioration de la qualité des eaux consiste à faire en sorte qu'aucune des masses d'eau du bassin ou groupement de bassins ne soit dans un état correspondant à un classement inférieur à celui qui la caractérisait au début de la période considérée ». Les mesures de police de l’eau (contrôle, autorisation, déclaration, mise en demeure, sanctions) permettent en cours de cycle de gestion de s’assurer de la non détérioration des masses d’eau en prévoyant les prescriptions qui s’imposent sur les caractéristiques des projets en cause.
Initiatives and Objectives
Le schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) identifie une liste de captages sur lesquels des actions
ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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Associated references
ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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Arrêté du 12 janvier 2010 relatif aux méthodes et aux critères à mettre en oeuvre pour délimiter et classer les masses d’eau et dresser l’état des lieux prévu à l’article R. 212-3 du code de l’environnement.
Chandesris A., Wasson J.-G. and Pella H. (2005). Hydroécorégions de la Guyane. Propositions de régionalisation des écosystèmes aquatiques en vue de l’application de la directive-cadre. CEMAGREF BEA/LHQ, Lyon. 10 p. + annexes. | http://www.rapportage.eaufrance.fr/annexes/dce/2010/FR.htm |
4. Results from Surface Water Monitoring
EcologicalStatusDescription | ‘La mobilisation de la donnée résultant du réseau de surveillance des eaux de surface est détaillée dans le guide REEE. Cette donnée permet ensuite de produire notamment les cartes 1 et 2 de l’état écologique des masses d’eau.
L’annexe 12 de ce guide donne notamment les informations sur les modalités de représentation cartographique des données (charte sémiologique). |
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ChemicalStatusDescription | Les valeurs-seuils définies dans la circulaire DCE 2005/12 relative à la définition du « bon état », sont difficilement applicables: 1 seule année de mesure et 1 seul prélèvement. Un unique résultat par paramètre constituant donc la moyenne ne permet pas une évaluation pertinente de l'état chimique.
Les résultats à venir (2009 et 2010), permettront de préciser ces concentrations et d'appliquer les valeurs-seuils. Les résultats de l’étude récente sur la répartition régionale du mercure dans les sédiments et les poissons de six fleuves de Guyane (BRGM, septembre 2007, http://www.brgm.fr/publication/pubDetailRapportSP.jsp?id=RSP-BRGM/RP-55965-FR) montre une corrélation entre les concentrations en mercure mesurées dans les sédiments et les poissons. Quel que soit le fleuve considéré, les concentrations moyennes en mercure des poissons sont supérieures à la recommandation de l'OMS (0,5 mg/kg) donc largement supérieure à la NQE biote de 20µg/kg = 0.02 mg/kg. Toutefois, il est impossible avec les données actuelles de statuer sur l'origine du mercure: origine anthropique par les rejets directs lors de l’amalgamation de l’or ou naturelle due au fond géochimique des sols tropicaux. |
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ProtectedAreaStatusDescription | None |
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SubUnitDifferences | None |
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Supporting Documents:
ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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Arrêté du 25 janvier 2010 relatif aux méthodes et critères d’évaluation de l’état écologique, de l’état chimique et du potentiel écologique des eaux de surface pris en application des articles R. 212-10, R. 212-11 et R. 212-18 du code de l’environnement | http://www.rapportage.eaufrance.fr/annexes/dce/2010/FR.htm |
5. Surface Water Pressure Methodologies
Point source pollution
Methodology:
L’évaluation menée pour les états des lieux est basée sur les données disponibles concernant les pressions et les activités qui s’exercent sur les masses d’eau, ainsi que sur les données physico-chimiques et biologiques issues des réseaux de surveillance des milieux aquatiques. Elle tient compte de l’état actuel des milieux, de l’évolution des activités, de l’effet des politiques en matière de protection de l’environnement et du respect des directives européennes en vigueur. La méthode d’évaluation s’appuie prioritairement sur les données biologiques.
La démarche adoptée au niveau national – formalisée dans un document de cadrage – comporte les étapes suivantes : - fixer des limites provisoires du « bon état écologique » pour les paramètres biologiques et physico-chimiques par type de masses d’eau - recaler les outils d’évaluation actuels par rapport à ces limites ; en effet, les outils d’évaluation de la qualité des milieux aquatiques doivent être adaptés à la logique de la directive cadre - exploiter les données physico-chimiques et biologiques existantes avec ces nouvelles règles - établir une relation entre le degré actuel de pressions anthropiques et les données physico-chimiques et biologiques - évaluer le risque de non-respect des objectifs environnementaux avec les scénarios tendanciels d’évolution des activités et des pressions. Le risque doit être évalué à l’échelle de chaque masse d’eau, mais en prenant en compte le fait que certaines pressions situées sur une masse d’eau peuvent avoir des répercussions sur les masses d’eau voisines. Ce phénomène concerne en particulier : les paramètres physico-chimiques de type nutriments ; les migrations importantes de poissons, qui ne peuvent être bien prises en compte qu’à l’échelle de plusieurs masses d’eau ou à l’échelle d’un bassin ; les perturbations de la quantité et de la dynamique du débit liées, par exemple, à la gestion hydraulique d’ouvrages.
L'évaluation des pressions ponctuelles s'est déroulée en plusieurs étapes : recensement des données de synthèse disponibles à l'échelle du bassin hydrographique ; recherche de données complémentaires précises auprès de sources d'informations pré-identifiées pour chacun des types de paramètres ; synthèse des données collectées, cette synthèse étant la plupart du temps cartographique.
L’acquisition de données supplémentaires depuis 2004 et la récente définition des règles d’évaluation de l’état des masses d’eau de surface et des masses d’eau souterraine ont permis d’affiner l’identification des pressions pour l’élaboration des programmes de surveillance et des programmes de mesures
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Arrêté du 12 janvier 2010 relatif aux méthodes et aux critères à mettre en oeuvre pour délimiter et classer les masses d’eau et dresser l’état des lieux prévu à l’article R. 212-3 du code de l’environnement
Circulaire DCE 2003/01 et son guide "Procédure d'élaboration de l'état des lieux", mars 2003
Circulaire DCE 2003/02 et son guide "Mise en oeuvre de la DCE - Identification des pressions et des impacts", mars 2003 | http://www.rapportage.eaufrance.fr/annexes/dce/2010/FR.htm |
Subunit difference:
None
Diffuse source pollution
Methodology:
L’évaluation menée pour les états des lieux est basée sur les données disponibles concernant les pressions et les activités qui s’exercent sur les masses d’eau, ainsi que sur les données physico-chimiques et biologiques issues des réseaux de surveillance des milieux aquatiques. Elle tient compte de l’état actuel des milieux, de l’évolution des activités, de l’effet des politiques en matière de protection de l’environnement et du respect des directives européennes en vigueur. La méthode d’évaluation s’appuie prioritairement sur les données biologiques.
La démarche adoptée au niveau national – formalisée dans un document de cadrage – comporte les étapes suivantes : - fixer des limites provisoires du « bon état écologique » pour les paramètres biologiques et physico-chimiques par type de masses d’eau - recaler les outils d’évaluation actuels par rapport à ces limites ; en effet, les outils d’évaluation de la qualité des milieux aquatiques doivent être adaptés à la logique de la directive cadre - exploiter les données physico-chimiques et biologiques existantes avec ces nouvelles règles - établir une relation entre le degré actuel de pressions anthropiques et les données physico-chimiques et biologiques - évaluer le risque de non-respect des objectifs environnementaux avec les scénarios tendanciels d’évolution des activités et des pressions. Le risque doit être évalué à l’échelle de chaque masse d’eau, mais en prenant en compte le fait que certaines pressions situées sur une masse d’eau peuvent avoir des répercussions sur les masses d’eau voisines. Ce phénomène concerne en particulier : les paramètres physico-chimiques de type nutriments ; les migrations importantes de poissons, qui ne peuvent être bien prises en compte qu’à l’échelle de plusieurs masses d’eau ou à l’échelle d’un bassin ; les perturbations de la quantité et de la dynamique du débit liées, par exemple, à la gestion hydraulique d’ouvrages.
L'évaluation des pressions diffuses s'est appuyée principalement sur une analyse de l'occupation du sol et des données relatives aux pratiques culturales sur le bassin.
L’acquisition de données supplémentaires depuis 2004 et la récente définition des règles d’évaluation de l’état des masses d’eau de surface et des masses d’eau souterraine ont permis d’affiner l’identification des pressions pour l’élaboration des programmes de surveillance et des programmes de mesures.
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Arrêté du 12 janvier 2010 relatif aux méthodes et aux critères à mettre en oeuvre pour délimiter et classer les masses d’eau et dresser l’état des lieux prévu à l’article R. 212-3 du code de l’environnement
Circulaire DCE 2003/01 et son guide "Procédure d'élaboration de l'état des lieux", mars 2003
Circulaire DCE 2003/02 et son guide "Mise en oeuvre de la DCE - Identification des pressions et des impacts", mars 2003 | http://www.rapportage.eaufrance.fr/annexes/dce/2010/FR.htm |
Subunit difference:
None
Water abstractions
Methodology:
L’évaluation menée pour les états des lieux est basée sur les données disponibles concernant les pressions et les activités qui s’exercent sur les masses d’eau, ainsi que sur les données physico-chimiques et biologiques issues des réseaux de surveillance des milieux aquatiques. Elle tient compte de l’état actuel des milieux, de l’évolution des activités, de l’effet des politiques en matière de protection de l’environnement et du respect des directives européennes en vigueur. La méthode d’évaluation s’appuie prioritairement sur les données biologiques.
La démarche adoptée au niveau national – formalisée dans un document de cadrage – comporte les étapes suivantes : - fixer des limites provisoires du « bon état écologique » pour les paramètres biologiques et physico-chimiques par type de masses d’eau - recaler les outils d’évaluation actuels par rapport à ces limites ; en effet, les outils d’évaluation de la qualité des milieux aquatiques doivent être adaptés à la logique de la directive cadre - exploiter les données physico-chimiques et biologiques existantes avec ces nouvelles règles - établir une relation entre le degré actuel de pressions anthropiques et les données physico-chimiques et biologiques - évaluer le risque de non-respect des objectifs environnementaux avec les scénarios tendanciels d’évolution des activités et des pressions. Le risque doit être évalué à l’échelle de chaque masse d’eau, mais en prenant en compte le fait que certaines pressions situées sur une masse d’eau peuvent avoir des répercussions sur les masses d’eau voisines. Ce phénomène concerne en particulier : les paramètres physico-chimiques de type nutriments ; les migrations importantes de poissons, qui ne peuvent être bien prises en compte qu’à l’échelle de plusieurs masses d’eau ou à l’échelle d’un bassin ; les perturbations de la quantité et de la dynamique du débit liées, par exemple, à la gestion hydraulique d’ouvrages.
Les prélèvements ont été recensés par croisement des informations provenant de différentes bases de données existantes (prélèvement pour la production d'eau potable, prélèvements industriels, prélèvements soumis à redevance…).
L’acquisition de données supplémentaires depuis 2004 et la récente définition des règles d’évaluation de l’état des masses d’eau de surface et des masses d’eau souterraine ont permis d’affiner l’identification des pressions pour l’élaboration des programmes de surveillance et des programmes de mesures.
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Arrêté du 12 janvier 2010 relatif aux méthodes et aux critères à mettre en oeuvre pour délimiter et classer les masses d’eau et dresser l’état des lieux prévu à l’article R. 212-3 du code de l’environnement
Circulaire DCE 2003/01 et son guide "Procédure d'élaboration de l'état des lieux", mars 2003
Circulaire DCE 2003/02 et son guide "Mise en oeuvre de la DCE - Identification des pressions et des impacts", mars 2003 | http://www.rapportage.eaufrance.fr/annexes/dce/2010/FR.htm |
Subunit difference:
None
Water flow and morphologocal
Methodology:
L’évaluation menée pour les états des lieux est basée sur les données disponibles concernant les pressions et les activités qui s’exercent sur les masses d’eau, ainsi que sur les données physico-chimiques et biologiques issues des réseaux de surveillance des milieux aquatiques. Elle tient compte de l’état actuel des milieux, de l’évolution des activités, de l’effet des politiques en matière de protection de l’environnement et du respect des directives européennes en vigueur. La méthode d’évaluation s’appuie prioritairement sur les données biologiques.
La démarche adoptée au niveau national – formalisée dans un document de cadrage – comporte les étapes suivantes : - fixer des limites provisoires du « bon état écologique » pour les paramètres biologiques et physico-chimiques par type de masses d’eau - recaler les outils d’évaluation actuels par rapport à ces limites ; en effet, les outils d’évaluation de la qualité des milieux aquatiques doivent être adaptés à la logique de la directive cadre - exploiter les données physico-chimiques et biologiques existantes avec ces nouvelles règles - établir une relation entre le degré actuel de pressions anthropiques et les données physico-chimiques et biologiques - évaluer le risque de non-respect des objectifs environnementaux avec les scénarios tendanciels d’évolution des activités et des pressions. Le risque doit être évalué à l’échelle de chaque masse d’eau, mais en prenant en compte le fait que certaines pressions situées sur une masse d’eau peuvent avoir des répercussions sur les masses d’eau voisines. Ce phénomène concerne en particulier : les paramètres physico-chimiques de type nutriments ; les migrations importantes de poissons, qui ne peuvent être bien prises en compte qu’à l’échelle de plusieurs masses d’eau ou à l’échelle d’un bassin ; les perturbations de la quantité et de la dynamique du débit liées, par exemple, à la gestion hydraulique d’ouvrages.
L'évaluation des pressions morphologiques s'est déroulée en plusieurs étapes : recensement des données de synthèse disponibles à l'échelle du bassin hydrographique ; recherche de données complémentaires précises auprès de sources d'information pré-identifiées pour chacun des types de pressions morphologiques ; synthèse des données collectées.
L’acquisition de données supplémentaires depuis 2004 et la récente définition des règles d’évaluation de l’état des masses d’eau de surface et des masses d’eau souterraine ont permis d’affiner l’identification des pressions pour l’élaboration des programmes de surveillance et des programmes de mesures.
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Arrêté du 12 janvier 2010 relatif aux méthodes et aux critères à mettre en oeuvre pour délimiter et classer les masses d’eau et dresser l’état des lieux prévu à l’article R. 212-3 du code de l’environnement
Circulaire DCE 2003/01 et son guide "Procédure d'élaboration de l'état des lieux", mars 2003
Circulaire DCE 2003/02 et son guide "Mise en oeuvre de la DCE - Identification des pressions et des impacts", mars 2003 | http://www.rapportage.eaufrance.fr/annexes/dce/2010/FR.htm |
Subunit difference:
None
Other pressure types
Methodology:
L’évaluation menée pour les états des lieux est basée sur les données disponibles concernant les pressions et les activités qui s’exercent sur les masses d’eau, ainsi que sur les données physico-chimiques et biologiques issues des réseaux de surveillance des milieux aquatiques. Elle tient compte de l’état actuel des milieux, de l’évolution des activités, de l’effet des politiques en matière de protection de l’environnement et du respect des directives européennes en vigueur. La méthode d’évaluation s’appuie prioritairement sur les données biologiques.
La démarche adoptée au niveau national – formalisée dans un document de cadrage – comporte les étapes suivantes : - fixer des limites provisoires du « bon état écologique » pour les paramètres biologiques et physico-chimiques par type de masses d’eau - recaler les outils d’évaluation actuels par rapport à ces limites ; en effet, les outils d’évaluation de la qualité des milieux aquatiques doivent être adaptés à la logique de la directive cadre - exploiter les données physico-chimiques et biologiques existantes avec ces nouvelles règles - établir une relation entre le degré actuel de pressions anthropiques et les données physico-chimiques et biologiques - évaluer le risque de non-respect des objectifs environnementaux avec les scénarios tendanciels d’évolution des activités et des pressions. Le risque doit être évalué à l’échelle de chaque masse d’eau, mais en prenant en compte le fait que certaines pressions situées sur une masse d’eau peuvent avoir des répercussions sur les masses d’eau voisines. Ce phénomène concerne en particulier : les paramètres physico-chimiques de type nutriments ; les migrations importantes de poissons, qui ne peuvent être bien prises en compte qu’à l’échelle de plusieurs masses d’eau ou à l’échelle d’un bassin ; les perturbations de la quantité et de la dynamique du débit liées, par exemple, à la gestion hydraulique d’ouvrages.
L’acquisition de données supplémentaires depuis 2004 et la récente définition des règles d’évaluation de l’état des masses d’eau de surface et des masses d’eau souterraine ont permis d’affiner l’identification des pressions pour l’élaboration des programmes de surveillance et des programmes de mesures.
Associated hyperlink:
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Arrêté du 12 janvier 2010 relatif aux méthodes et aux critères à mettre en oeuvre pour délimiter et classer les masses d’eau et dresser l’état des lieux prévu à l’article R. 212-3 du code de l’environnement
Circulaire DCE 2003/01 et son guide "Procédure d'élaboration de l'état des lieux", mars 2003
Circulaire DCE 2003/02 et son guide "Mise en oeuvre de la DCE - Identification des pressions et des impacts", mars 2003 | http://www.rapportage.eaufrance.fr/annexes/dce/2010/FR.htm |
Subunit difference:
None
6. Surface Water Impact Methodologies
Impact methodology
Methodology:
Les travaux d'analyse pour l'élaboration de l'état des lieux ont été conduits selon le schéma logique DPSIR. L’effort d’investigation a été proportionnel à la difficulté d’évaluation du risque de non-atteinte du bon état. Les efforts d'investigation ont ainsi été concentrés en dehors des masses d'eau : qui sont déjà en mauvais état, et donc qui n’ont que peu de chances d’atteindre le bon état (dans ce cas, elles sont bien identifiées comme risquant de ne pas atteindre le bon état) ; qui sont déjà en (très) bon état et qui ont toutes les chances de le rester. L’estimation des impacts s’est fondée sur l’utilisation des données d’état ainsi que sur les données de pressions disponibles.
L'analyse des pressions et impacts a nécessité la collecte des informations sur les pressions auxquelles les masses d’eau sont soumises et sur les caractéristiques des masses d’eau qui influencent leur sensibilité à ces pressions. Cette analyse s’appuie sur les données de surveillance disponibles. Ont pu être utilisées, par exemple, les informations issues des réseaux de mesure sur les impacts en tant que point de départ pour identifier les risques et/ou les pressions auxquels les masses d’eau sont soumises.
L’échelle d’analyse a correspondu à l’échelle à laquelle les investigations sont mises en œuvre et la concertation conduite. Elle a pu correspondre au bassin versant des schémas d’aménagement et de gestion des eaux (SAGE), à la circonscription de l’établissement public territorial de bassin, au périmètre d’un contrat de rivière…
Dans le cas où les données de surveillance n’étaient pas disponibles, il a été possible de « propager » vers l’aval des données de l’amont lorsque les données en amont et les coefficients techniques de cette propagation (coefficients d’autoépuration …) sont disponibles. Pour les données morphologiques et biologiques, pour lesquelles les règles de propagation sont particulièrement mal connues, le principe de l’analogie a pu être adopté : deux masses d’eau ayant les mêmes caractéristiques (ordre de drainage, hydroécorégions) et subissant les mêmes pressions (les mêmes forces motrices à défaut) subissent avec une certaine probabilité les mêmes impacts.
L’acquisition de données supplémentaires depuis 2004 et la récente définition des règles d’évaluation de l’état des masses d’eau de surface et des masses d’eau souterraine ont permis d’affiner l’identification des pressions et impact pour l’élaboration des programmes de surveillance et des programmes de mesures.
Associated hyperlink:
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Arrêté du 12 janvier 2010 relatif aux méthodes et aux critères à mettre en oeuvre pour délimiter et classer les masses d’eau et dresser l’état des lieux prévu à l’article R. 212-3 du code de l’environnement
Circulaire DCE 2003/01 et son guide "Procédure d'élaboration de l'état des lieux", mars 2003
Circulaire DCE 2003/02 et son guide "Mise en oeuvre de la DCE - Identification des pressions et des impacts", mars 2003 | http://www.rapportage.eaufrance.fr/annexes/dce/2010/FR.htm |
Subunit difference:
None
Summary of impacts
Summary:
L'identification des impacts significatifs a été réalisée par jugement d'expert. Les principaux impacts environnementaux au sein du bassin résultants de pressions significatives, sont : orpaillage, pollution mercure, agriculture, rejets industriels, rejets domestiques, prélèvements.
Associated hyperlink:
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Subunit difference:
None
7. Surface Water data gaps and uncertainties
Data gaps:
La Guyane constitue un district hydrographique à part entière, couvrant plus de 86 000 km². La population (moins de 250 000 habitants) est inégalement répartie (90% sur le littoral).
Le réseau hydrographique est extrêmement dense et peu connu en l’absence d’un référentiel hydrographique uniforme sur l’ensemble du département (la BD Carthage sera terminée au premier trimestre 2010). La situation d’isolement de l’intérieur de la Guyane rend l’accès aux sites isolés long et coûteux et limite la connaissance des milieux aquatiques du territoire.
Au moment de la réalisation de l’état des lieux du district en 2006, il n’existait que très peu de données et aucun réseau de suivi à l’échelle du territoire, ce qui a conduit à élaborer l’état des lieux «à dire d’expert». Le programme de suivi de la qualité des eaux de surface a été défini considérant l’étendue du district hydrographique de la Guyane, les lacunes de connaissances et les spécificités du milieu équatorial. Le dimensionnement du réseau de mesure est en adéquation avec la répartition des pressions et avec les disponibilités financières, humaines et l’accessibilité nécessaires pour le mettre en œuvre. Ce découpage a permis de définir 934 masses d’eau de surface et une masse d’eau fortement modifiée qui est le lac de Petit Saut, plus grand lac de France, dont la mise en eau en 1994 a entraîne l'ennoiement de 365 km2 de forêt équatoriale. Le suivi EDF du fonctionnement écologique du lac est très complet en termes de paramètres et de fréquences, un suivi DCE n'est pas réalisé spécifiquement pour le plan d'eau.
Data actions:
Une convention DIREN-IRD, a pour objectif de définir ou d’affiner les indices biologiques (diatomées, invertébrés aquatiques et poissons). Pour cela, l’amélioration de l’adaptation des protocoles de prélèvement est nécessaire puisque les méthodes d’échantillonnage DCE ne peuvent pas être appliquées directement en Guyane.
Le suivi physico-chimique est mis en place par l’Office de l’eau et financée par l’ONEMA. 2 campagnes de prélèvement, en saison sèche et en saison des pluies (2009, 2010), concernent l’ensemble des substances indiquées dans les circulaires DCE. Un suivi spécifique des impacts agricoles est mis en place sur 7 stations avec une fréquence mensuelle. En 2010, un programme de recherche IRD concernera spécifiquement les petites masses d'eau pour lesquelles les connaissances biologiques sont quasiment nulles et les techniques d'échantillonnage inexistantes.
Data reference:
ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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Schéma national des données sur l'eau (SNDE) et son plan d'action. | http://www.reseau.eaufrance.fr/ressource/schema-national-donnees-sur-eau-snde-version-finale |
Progress since 2005:
Le réseau de référence a été mis en place en 2007 avec 17 stations. Une campagne de prélèvement en saison sèche a concerné l’hydrobiologie (diatomées, invertébrés aquatiques, poissons) et la physico-chimie (substances de base). En 2008, le réseau de surveillance a été mis en place comprenant 43 stations dont 20 stations de référence incluses. Une campagne en saison sèche a permis un échantillonnage hydrobiologique (diatomées, phytoplancton, invertébrés aquatiques, poissons) et physico-chimique (substances prioritaires).
Le suivi de ces réseaux s’est poursuivi en 2009 avec l’ajout de 10 petites masses qui n’avaient jusqu’alors pas été identifiés ni échantillonnées. 53 stations ont prélevées en saison sèche.
Sub unit difference:
None
8. Surface Water use of Exemptions
Summary of exemption approach:
L’usage des exemptions prévues à l’article 4, paragraphes 4 à 7, de la directive cadre sur l’eau s’est appuyé sur des éléments méthodologiques nationaux synthétisés dans un guide méthodologique. Celui-ci précise les critères relatifs aux temps de réponse des milieux naturels, aux délais de faisabilité technique et fixe des fourchettes de délais pour certains types de pressions et de milieux. Il précise également la méthode d’évaluation des coûts des mesures nécessaires à l’atteinte du bon état permettant de juger de leur caractère disproportionné.
Data Details of deadlines
Les objectifs de chaque masse d’eau sont fixés dans le schéma directeur d’aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) avec les échéances qui s’y appliquent.
Sub unit difference:
None
Supporting hyperlinks:
ReferenceDescription | ReferenceURLlocation |
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Guide méthodologique de justification des exemptions prévues par la directive cadre sur l'eau | http://www.rapportage.eaufrance.fr/annexes/dce/2010/FR.htm |